Comment produire une alimentation saine avec des pratiques durables, voire régénératrices des sols ?

Comment déployer des pratiques culinaires saines et durables ?

La crise covid a su montrer une certaine forme de résilience du système alimentaire français (avant tout grandement basée sur le maintien de la chaine logistique). Qu’en sera-t-il des impacts de la guerre entre l’Ukraine et la Russie sur l’approvisionnement en céréales, huiles, hydrocarbures … ? 

Ces événements montrent nos dépendances à des pays pour leurs productions agricoles, du fait de l’hyper-spécialisation des régions, ou pour leurs ressources (fossiles notamment pour toute la chaine logistique et l’industrie agro-alimentaire).

Le modèle agricole, et par conséquent la résilience du système alimentaire, doivent s’appuyer avant tout sur la transformation des pratiques agronomiques. Il est clairement démontré que le sol n’est pas qu’un substrat, sa fertilité dépend de la biodiversité. 

Des acteurs de l’ESS œuvrent depuis de nombreuses années à l’avènement des circuits courts (les AMAP), des pratiques agricoles plus respectueuses du vivant (La p’tite ferme, les p’tits cageots, Réseau Cocagne au niveau national…), l’autonomisation des paysans (l’Atelier paysan, Kokopelli…), la gestion collective et l’accession à des terres agricoles (Terres de Liens) …

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