« Dans un contexte budgétaire et politique très tendu, où les décideurs publics cherchent à faire plus, à faire mieux, avec moins, nous, acteurs et représentants des entreprises et des employeurs de l’économie sociale et solidaire (ESS), les invitons à porter un autre regard sur ce pan de l’économie française ».

À l’approche de la préparation du budget 2026, Benoît Hamon, président d’ ESS France et David Cluzeau, président de l’ UDES (Union des Employeurs de l’ESS) appellent les pouvoirs publics à considérer l’ESS pour ce qu’elle est : une économie performante, ancrée, résiliente et essentielle.

Les chiffres sont éloquents :

  • 2,7 millions de salariés
  • Un taux de survie impressionnant de 75 % à 3 ans pour les SCOP et SCIC
  • Moins de pertes d’emploi pendant la crise sanitaire
  • 140 000 personnes éloignées de l’emploi remobilisées chaque année

L’ESS agit dans des secteurs vitaux où la République est attendue : les EHPAD, les crèches, les services à domicile, l’insertion, la santé, la transition écologique et l’éducation.

« Nous ne demandons pas un traitement de faveur, mais un traitement à la hauteur de notre impact réel sur la société. »

Pour en savoir plus, lisez la tribune complète dans le journal La Tribune :